Saint Vincent De Paul, Maître d’Oraison. Chapitre XII

Francisco Javier Fernández ChentoVincent de PaulLeave a Comment

CRÉDITS
Auteur: Abbé Arnaud d’Agnel · Année de la première publication : 1929.
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Chapitre XII

Services rendus à l’oraison par l’examen de conscience, les retraites spirituelles, les exercices de saint Ignace, la lecture d’édification, les répétitions d’oraison.

L’examen de conscience prépare et facilite l’oraison mentale parce qu’il répond merveilleusement à ce qu’elle doit être. M. Vincent compare cette dernière à un miroir où l’âme se voit avec ses imperfections et ses défauts. Nous ne reviendrons pas sur cette comparaison si bien développée. Il suffit de noter qu’en l’esprit du saint il n’est pas d’oraison sérieusement faite sans un retour sur soi-même, sans effort pour se mieux connaître. L’examen de conscience est donc à ce point de vue un exercice préparatoire.

Saint Bernard nous assure qu’il n’est pas savoir plus désirable que la science de soi. « Laissez le reste – écrit-il1 – que votre pensée débute par vous et finisse par vous ; n’examinez pas les autres objets en négligeant celui-là qui est le principal. Hors de votre salut, ne pensez à rien autre parce que, dans l’acquisition de ce bonheur, nul ne vous est plus proche et plus voisin que vous-même. »

D’après saint Augustin2, c’est un devoir de se constituer son propre juge, de s’écouter, de se discuter, et que l’on ne se retranche pas derrière le prétendu silence de la voix intérieure. Si l’on n’entend pas sa parole, c’est qu’on manque de sincérité avec soi-même et qu’on est intéressé à ne pas l’entendre.

Aux yeux du Père Louis Lallemant3, le plus grand malheur de l’homme est d’être tout entier d’action et de cœur dans la vie extérieure au point de ne songer à rien d’autre.

Du nombre des trois livres qu’il faut toujours porter avec soi et relire chaque soir, suivant Ruysbraeck l’Admirable4, est un livre vieux, difforme, souillé, écrit à l’encre noire, c’est celui de notre conscience.

Pour convaincre son disciple qu’il est indispensable de se livrer à cet exercice, sous peine de s’exposer à la damnation éternelle, saint Ignace de Loyola le fait assister au siège de l’âme par le plus habile et le plus patient des capitaines, le Démon qui n’attaque jamais cette place avant d’en avoir découvert le point faible, la brèche par où il est facile de se glisser5.

Pour Cassien si versé dans l’ascétisme, cette pratique est aussi pénible à la nature qu’utile à la vie chrétienne puisqu’elle a pour objet le fond même de l’homme.

Les textes du saint cités au cours de cet ouvrage le montrent soucieux de mettre l’âme en face d’elle-même. L’un de premiers objectifs de sa direction est d’apprendre à se voir tel qu’on est réellement, et non tel qu’il plairait d’être. Toutefois si Vincent détourne du dehors le regard de son dirigé pour le lui faire ficher sur le dedans, ce n’est pas du tout dans l’intention de le séparer de ce qui l’entoure et de l’isoler égoïstement, c’est, au contraire, pour lui permettre de communiquer davantage avec son milieu en exerçant sur lui une influence pénétrante et plus utile.

Dans l’examen de conscience bien compris, le Chrétien ne s’étudie pas théoriquement à la façon du philosophe, mais pratiquement à la manière d’un homme d’action. Son désir n’est pas de se connaître pour se complaire en son moi et s’y enfermer dans une admiration béate ou dans une curiosité de psychologue. Son rêve n’est pas, non plus, de déduire de cette connaissance des observations d’ordre scientifiques. Ce qu’il ambitionne, par ce moyen, c’est une vue pratique de lui-même afin d’être, avec l’aide de la grâce, plus raisonnable et plus saint dans ses actes tant extérieurs qu’intérieurs. Aussi s’examine-t-il en ayant soin de se voir parmi les gens et les choses où s’écoule sa vie. Il se regarde lui, mais lui vivant dans telle famille, se livrant à telles occupations et à tels jeux, fréquentant telles personne, lisant tels livres ou courant après tels spectacles. Rien dans sa conduite privée ou dans son rôle public, s’il en joue un, qui ne défile sous ses yeux. En un mot si le Chrétien cesse, un instant, de regarder le monde extérieur, ce n’est pas pour l’ignorer et ne plus en tenir compte, mais pour en avoir une vue plus nette, parce que plus réfléchie. Il sortira de son recueillement mieux armé pour les luttes de la vie.

M. Vincent envisage l’examen de conscience au point de vue pratique. Pas plus que l’oraison, il ne doit consister ni en rêverie sentimentale, ni en étude théorique. Il ne le faut pas faire pour devenir plus savant, mais pour se corriger peu à peu de ses défauts ou pour acquérir telle vertu.

Voici en quels termes, le saint enseigne cette doctrine aux Filles de la Charité6 : « Cet examen peut se faire de deux manières. L’une en regardant si l’on a été fidèle aux résolutions de l’oraison du matin, car c’est le fruit de cet exercice de prendre de bonnes résolutions, et pratiques. Par exemple, voilà une vertu dont j’ai besoin : je suis prompte, j’ai besoin de patience ; je suis paresseuse, j’ai besoin de diligence. Et ainsi les autres. Comme l’on s’est proposé cela pour résolution, il faut faire attention, à l’examen particulier, si on a été fidèle, ou non. »

La seconde manière de s’examiner consiste à rechercher son défaut dominant afin de le mortifier le plus possible. Si l’on s’est dit en fin d’oraison : aujourd’hui je combattrai mon emportement en telles circonstances, l’on se demandera si l’on a tenu parole, afin d’en remercier Dieu en cas de victoire et de s’en humilier en cas de défaite. 3Car, voyez-vous, – déclare le saint – il est impossible de bien corriger un vice, si l’on n’est pas exact à faire cet examen de conscience. »

Cette doctrine de Vincent est celle des maîtres de la spiritualité. Ils veulent tous que l’examen de conscience corrige et améliore notre conduite. Dès notre lever, – observe jean Chrysostome7 – avant de nous occuper d’aucune affaire, nous faisons venir notre serviteur et lui demandons compte des dépenses faites la veille. Ainsi faut-il procéder au point de vue moral. Appelons notre conscience, et qu’elle nous mette au courant des actes, des paroles et des pensées. Examinons ce qui est à notre avantage ou à notre préjudice. Cessons de penser à tort et à travers, et tâchons de substituer d’utiles dépenses aux nuisibles, des prières aux paroles indiscrètes, l’aumône aux regards trop libres.

L’assimilation de la conscience à un intendant est bien dans l’esprit et le goût du Fondateur de la Mission.

Le caractère éminemment pratique de l’examen de conscience, tel qu’il est compris par Vincent, ressort de cette recommandation de saint Bernard8 : « Examinons notre conduite, que chacun pense réaliser des progrès, non quand il ne trouve rien en lui de fautif, mais quand il reprend et corrige ce qu’il découvre de mauvais. On ne s’illusionne pas dans cette étude de soi-même, toutes les fois qu’on juge bon de la recommencer. »

D’après notre saint, sans ce recueillement de chaque jour, non seulement on ne se connaît pas, mais on n’a du monde extérieur qu’une connaissance illusoire. Pour mieux voir ce qui nous entoure, il faut souvent fermer les yeux et les rouvrir une fois reposés. Ainsi en est-il dans l’ordre religieux. Selon sainte Catherine de Sienne, la cellule extérieure est subordonnée à la cellule intérieure. Ce qui signifie, en son style mystique, que la connaissance du dehors est sous la subordination de celle du dedans9.

La réflexion suivante de Rodriguez est identique dans le fond à des remarques de Vincent citées au cours du présent ouvrage. Le côté pratique de l’examen de conscience y ressort vigoureusement10 : « Si l’on se met en la présence de Dieu, ce n’est point pour en demeurer là, mais pour que cette présence nous soit un moyen de bien faire nos actions… Pendant que l’ on a un oeil occupé à contempler Dieu, il faut se servir de l’ autre pour regarder à bien faire toutes choses par amour du Seigneur. »

A vrai dire, cette observation porte sur la mise en la présence de Dieu, mais elle est d’autant plus appréciable à l’examen de conscience et à l’oraison, que ces deux exercices ne se conçoivent pas sans cette pratique. Là se trouve précisément l’intérêt de ce texte à notre point de vue. En effet, si l’ on entre en soi-même, n’est-ce pas pour y découvrir Dieu ? Et si l’ on regarde du côté de Dieu, n’est-ce pas inversement pour mieux se connaître à sa lumière ?

Puisque le rôle de la conscience est souverainement utile, nous aurions tort de ne pas écouter cette voix d’autant qu’elle nous instruit et de nous-mêmes et de ce monde où force nous est de vivre et d’ agir. Un disciple génial de M. Vincent, faisant écho à l’ enseignement du maître, donne le conseil de laisser parler sa conscience11 : « Elle a charge de Dieu de nous avertir ; elle l’ a voulu faire, mais nous l’ en avons empêchée. Il faut maintenant lui rendre la voix et la liberté que nous lui avons ôtées. Si elle refuse de parler, il la faut faire parler par force, il la faut mettre à la gêne et à la torture. » N’est-ce pas là l’une des principales raisons d’être de l’examen de conscience et de l’oraison, deux exercices qui se corroborent réciproquement ; et cette réciprocité de services n’ a certes pas échappé à la perspicacité du saint.

Le Fondateur de la Mission se déclare partisan des retraites et particulièrement des Exercices spirituels de saint Ignace. Il n’est pas, à ses yeux, procédé plus efficace pour mourir à son propre esprit et se transformer moralement. « Une retraite bien faite est un ntier renouvellement, dit-il12 : celui qui l’a faite comme il faut passe dans un autre état. Il n’est plus ce qu’il était, devient un autre homme. » Par là, le retraitant se dépouille du vieil Adam pour se revêtir de Jésus-Christ, afin d’ accomplir en toutes choses son adorable volonté.

« C’est un temps de moisson que ces huit jours de silence – dit Vincent aux Filles de la Charité13. – Quel bonheur si vous employiez bien ce temps que Dieu vous donne pour s’entretenir coeur-à-coeur avec vous ! Là vos repasserez dans votre esprit les actions de Notre-Seigneur sur terre. » Il déclare familièrement à ses chères auditrices en une autre circonstance14 que la retraite raccommode tout et particulièrement les froissements d’amour propre et les petites rancunes.

Dans sa conférence du 16 mars 1659, le saint compare le rôle joué par les retraites dans l’ordre surnaturel aux bienfaits du soleil qui contribue, par ses influences, à la production des biens de la terre15. C’est dire qu’il recommande aussi l’examen de conscience, mais un examen qui a pour principal objet le fond même de l’âme16.

Un exercice de piété très profitable à notre entretien matinal avec le Seigneur est la lecture spirituelle. Il importe de lire, chaque soir, un chapitre de livre dévotieux. C’est chose nécessaire et bien facile, à condition de mettre un peu d’ordre dans l’emploi du temps.

Vincent nous explique la raison d’ être de cet acte.

Le matin, nous parlons au divin Maître dans l’oraison, et, par la lecture, l’Esprit-Saint parle à nos âmes. « Si vous voulez être écoutées de Dieu en vos prières, – dit le saint aux Fille de la Charité17 – écoutez Dieu en la lecture. Il n’y a pas moins d’avantage et de bonheur à écouter Dieu qu’ à lui parler. »

Pour lire avec fruit et par là se préparer à la méditation, il faut le faire lentement pour laisser aux vérités le temps de s’imprimer dans l’esprit et de descendre jusqu’aux couches profondes de la vie affective. Quand la lecture est précipitée, il n’ en reste rien.

M. Vincent parle à ce propos de l’office de lecteur institué par Notre-Seigneur. Quiconque a cette charge doit se faire entendre du peuple en lisant les saints livres à haute voix, distinctement et posément. Quelqu’un lit-il ainsi, on dirait que chacune de ses paroles frappe et touche le cœur18. Vraies de la lecture publique, ces remarques le sont encore plus de la lecture privée parce qu’au cours de cette dernière, l’esprit se laisse facilement distraire. Lisons peu de pages, mais avec une extrême lenteur, les distractions seront moins nombreuses, et l’oraison du lendemain sera meilleure.

Le saint appuie ses conseils sur cette comparaison très juste19 : « Notre esprit est comme un petit vase à ouverture très étroite ; qu’on y verse de l’eau peu à peu, à petits filets, elle entre sans perte, et le vase se remplit ; mais qu’ on la verse rapidement et en abondance, il en pénètre fort peu, ou plutôt il n’y entre rien . De même, avec une lecture posée, l’esprit s’imprègne de ce qu’il entend ; ce qui lui est impossible avec une lecture rapide.

Un autre exercice très utile au coeur-à-coeur matinal avec Dieu est la répétition d’oraison. Si M. Vincent n’ en a pas eu l’ idée première, l’ on est en droit néanmoins de l’ en considérer comme le créateur, parce qu’il l’ a tellement transformée qu’ elle est devenue son oeuvre. D’une sorte de formalité presque sans vie ni influence, son esprit surnaturel, doublé de son sens pratique, a fait un acte vivant et d’une fécondité inouïe. Cet exercice vraiment sien a été jusqu’à sa mort l’objet de ses soins et de sa prédilection.

« La répétition d’oraison – dit à ses prêtres le Fondateur de la Mission20 – est un moyen comme vous savez, des plus nécessaires que nous ayons pour nous enflammer les uns les autres à la dévotion. Nous avons sujet de remercier Dieu d’avoir donné cette grâce à la Compagnie, et nous pouvons dire que cette pratique n’a jamais été en usage dans aucune communauté, sinon dans la nôtre. »

Devant l’obstination d’un de ses missionnaires à refuser de rendre compte de son oraison, le saint dit « qu’il était bien étrange de se vouloir exempter de faire une chose qui était tant à édification et dont un chacun tirait tant de fruit pour la vertu, telles que sont les répétitions d’oraison21 ».

Vincent développe ces mêmes idées dans une conférence aux Filles de la Charité22 : « Soyez soigneuses de rendre compte de votre oraison le plus tôt que vous pourrez l’avoir faite. Vous ne sauriez croire combien cela vous sera utile. Dites-vous les unes aux autres tout simplement les pensées que Dieu vous aura données, et surtout retenez bien les résolutions prises. La Bienheureuse Soeur Marie de l’Incarnation s’est servie de ce moyen pour se beaucoup avancer à la perfection. Elle rendait soigneusement compte (de son oraison) à sa servante. Oh oui, mes Filles, vous ne sauriez croire combien cela vous profitera, et le plaisir que vous ferez à Dieu en usant de la sorte.

« Voyez-vous la bonne Madeleine cachait dans son cœur les bonnes pensées qu’elle recueillait des paroles de Notre-Seigneur, et il est dit de même de la sainte Vierge. Ce sont des reliques que les bonnes pensées que Dieu vous donne en l’oraison. Ramassez-les soigneusement pour les mettre en pratique, et vous réjouirez le cœur de Dieu ; et tous les saints en feront fête. »

Vincent voit, dans l’exercice en question, un stimulant de premier ordre pour l’âme par la perspective qu’il lui ouvre, durant son oraison, d’avoir à en rendre compte. Evidemment cet exposé succinct de ses pensées et de ses sentiments obtenait son plein effet à Saint-Lazare23 parce qu’il était obligatoire et public. Personne ne pouvait s’y soustraire, quels que fussent son âge et l’importance de ses fonctions. On a vu, au cours de cet ouvrage, un Frère sévèrement blâmé, puni pour avoir essayé de s’y dérober.

Le saint si compatissant aux misères humaines était sur ce terrain là impitoyable. Il allait jusqu’à interdire aux prêtres de dire la messe pendant un ou deux jours, et, aux séminaristes, jusqu’à prolonger de plusieurs mois leur temps de séminaire. C’était, en effet, le temps choisi par le Fondateur de la Mission pour révéler certaines fautes particulièrement nuisibles au bon ordre et à la prospérité de l’Institut.

M. Vincent transformait par son exemple la répétition d’oraison en un acte d’humilité : avant de réprimander les autres, il se traitait lui-même très durement, et avec une telle force et une telle sincérité d’amour de Dieu qu’il arrachait des larmes à l’assistance.

Cette pratique, si bienfaisante dans les communautés religieuses, est irréalisable par les chrétiens vivant dans le monde. Sauf de très rares exceptions, il est impossible de s’y livrer entre parents ou entre amis, mais chacun de nous pourrait, s’il le voulait bien, se répéter à lui-même son oraison. Quant à faire cet exercice, pour assurer son plein rendement, encore faut-il l’accomplir régulièrement heures et jours fixés d’avance. Faute de cette détermination et de cette régularité, les résultats en seraient compromis.

Ce n’est là qu’un côté de la question, et le moindre, les répétitions d’oraison doivent être faites dans l’esprit de M. Vincent. Avant tout, il importe d’y voir un acte d’humilité. L’on se dédoublera mentalement de manière à se constituer son propre juge, et un juge sévère, impitoyable, dont les recherches ne se bornent pas seulement à connaître les péchés, mais s’efforcent d’en découvrir les causes. Une fois la culpabilité démontrée, l’on se traitera durement, l’on se déchirera comme le Fondateur de la Mission excellait à le faire.

Ce procédé différera de l’examen de conscience proprement dit en ce qu’au lieu de faire porter son attention sur l’ensemble de sa conduite, on la concentrera uniquement sur son oraison mentale. L’on se remémorera la manière dont elle a été faite, et, en constatant ses distractions et ses négligences, l’on se demandera si elles ne proviennent pas d’un fonds d’orgueil ou de paresse, de haine ou de jalousie, d’avarice ou d’ambition, d’attachement trop vif à ses idées personnelles ou à quelque créature…

L’on avisera ensuite aux moyens directs ou indirects de corriger tel ou tel défaut de son oraison avec la certitude qu’il n’et pas de mesure plus propre à se sanctifier que d’améliorer cet exercice estimé par M. Vincent l’âme de notre âme.

  1. S. Bernard, Traité de la maison intérieure, ch. XXXVI, 75.
  2. Saint Augustin, Sermon XIII, c. 6.
  3. Doctrine du Père Louis Lallemand, 305-306.
  4. Ruysbraeck l’Admirable, Le Livre des Sept Clôtures, ch. XXI.
  5. Saint Ignace, Exercices spirituels, Discernement des esprits, Examen de conscience, 3°.
  6. X, 605-606, n° 105. Conférence du 17 novembre 1658 sur le lever, l’oraison et autres exercices.
  7. Homélie : Il ne faut pas parler en vue de plaire, 4.
  8. Sermon 58° sur le Cantique des Cantiques, 12.
  9. Traités de la maison intérieure, c. XXXVI, 76.
  10. P. Rodriguez, Pratique de la perfection chrétienne (traduction Paul Duez), Rouen, 1643, p. 291.
  11. Bossuet, Sermon sur le péché d’habitude, 3° point.
  12. XI, 94-95, n° 77. Extrait d’Entretien sur l’utilité des retraites spirituelles.
  13. IX, 221-222, n°21. Continuation de la Conférence du 22 janvier 1645 sur la pratique du règlement, sur le catéchisme, les retraites et conférences
  14. X, 634, n° 108. Conférence du 16 mars 1659.
  15. Ib.
  16. III, 461, n° 1114. Lettre à la Mère Jeanne-Marguerite Chahu, de la Visitation.
  17. IX, 116, n° 15. Conférence du 14 juin 1643 sur l’explication du règlement.
  18. XI, 151, n° 104. Répétition d’oraison sur la lecture à haute voix.
  19. XI, 152.
  20. XII, 288, n° 210. Conférence du 5 août 1659 sur la théologie morale, la prédication, etc.
  21. XII, 70, n° 194. Répétition d’oraison du 17 novembre 1658. Blâme adressé à un prêtre qui avait refusé de répéter son oraison.
  22. IX, 4 et 5, n0 1. Conférence du 31 juillet 1634. Explication du règlement.
  23. La maison de Saint-Lazare à Paris était, au temps de M. Vincent, la maison mère des Prêtres de la Mission, comme elle l’est encore de nos jours.

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