XXVIII. Nouveaux établissements de séminaire en France
La Congrégation se trouvait florissante après l’élection de M. Jolly au généralat, on en estimait partout l’esprit et les emplois, ce qui engagea en diverses villes de France d’en demander avec instance de nouveaux établissements. M. Jolly n’était pas facile à en accepter, soit qu’il eut de la peine à fournir à tous les endroits où on lui demandait des sujets de la Congrégation, soit que sciant les traces de feu M. Vincent, il ne voulut pas faire éclat. Quand les propositions qu’on faisait étaient vues peu embarrassées pour le revenu assigné à la subsistance des ouvriers, ou quelles ne s’accommodaient pas avec les usages de la Compagnie, il les refusait absolument. Il refusa le séminaire de Reims par la même raison que M. Alméras avait ci-devant refusé celui de Grenoble. Les évêques voulant gêner le général pour ne pas retirer et envoyer les sujets selon qu’il jugerait à propos de le faire. De même d’autres établissements considérables pour des semblables raisons. Toutefois il se vit obligé d’en accepter quantité presque coup sur coup, tant en France qu’en Italie, et en Pologne. Et même quelques-uns qui faisaient beaucoup d’honneur à la Compagnie, quoique M. Jolly y eût grande répugnance.
Le roi très chrétien l’obligea à se charger de la cure de Versailles. S[a] M[ajesté] qui y faisait sa résidence ordinaire, avait fort embelli et augmenté cet endroit, de plus de la direction spirituelle des Invalides, pour qui il avait fait bâtir et doter un magnifique hôtel à Paris. M. Joly fit ce qu’il put pour éluder ces grands établissements. En particulier il ordonna des prières pour détourner le coup, et étant forcé de plier sous l’autorité royale, il annonça ainsi cette nouvelle à la Compagnie. Bon Dieu quel emploi, et quel danger pour de pauvres prêtres, destinés pour le village ! La suite fit voir qu’il ne craignait pas sans raison, quelques missionnaires prirent là l’air du monde, se dégoûtèrent de leur vocation, et la quittèrent. D’autres après avoir demeuré quelque temps dans ces maisons, n’étant plus propres à être envoyés dans les séminaires, et dans les missions ; ce qui est pourtant la fin de l’institut. Le général représenta longtemps au roi non ces inconvénients sur lesquels il n’osait pas s’expliquer, mais la disette d’ouvriers, et bien d’autres raisons. Voici ce qu’il en écrivit à la Comp[agn]ie par sa lettre du 23 9bre 1674 : Je vous ai déjà informé de notre établissement de Versailles, mais non pas de la façon qu’il s’est fait. Il y a environ trois ans que le roi, ayant dessein de nous mettre là en fit parler à M. Alméras par Mgr l’archevêque de Paris, pour lors Messire François de Harlay. Ce cher défunt représenta à S[a] M[ajesté] diverses raisons pour l’en détourner, entre autres que la Congrégation se chargeait très difficilement de cures, lesquelles la détournaient trop de ses fonctions. Toutefois le roi persista dans sa résolution sans en avoir parlé depuis ce temps-là, et nous ne pensions plus à cette affaire. Croyant que S[a] M[ajesté] pouvait avoir changé d’avis, elle nous fit savoir sur la fin du mois de 7bre passé que son intention était d’exécuter au plutôt ce dessein, et qu’elle avait destiné l’abbaye de Sens vacante par la mort de Mgr l’Archevêque de Sens, de 4000 F. de rentes pour la fondation de nos prêtres de Versailles, après être convenu des conditions. Mgr l’Archevêque de Paris a fait l’union de la dite cure à la Congrégation, dont on a pris possession le 23 8bre. Étant envoyé six prêtres avec un frère, et quelques jours après Mrs. le Bas1, et de Marte2, qui y ont commencé la mission, et l’ont continué avec les autres jusqu’au dimanche 18 de ce mois. C’est ainsi qu’il s’approchait tant qu’il pouvait de la fin de l’institut. Cette nouvelle maison en en commencement les exercices par une mission, il retire de Richelieu M. Thibaut3 pour en être le premier curé. Lequel parla pour la p[remiè]re fois à son nouveau troupeau bien différent du premier, le jour de St.-Martin. C’était un homme fort populaire, peu versé dans les manières du monde où les autres ouvriers, savoir Mrs. Fardel4, Léscuyer5, Bâton6, Chèvremont7, Crépel8, et Duval9 n’entendaient guère mieux. Et simple comme un enfant, que M. Jolly, loua lui-même après sa mort, d’avoir conservé dans la cour cette simplicité. Le général se vit donc ainsi obligé d’accepter ces établissements, et il en usa de la façon que nous venons de rapporter dans ce commencement, que Dieu a béni visiblement dans la suite. Il n’y a guère de lieu où on aie gagné l’affection du monde, quoique accoutumé à la cour comme à Versailles, et aux Invalides, tant il est vrai qu’au milieu même des grandeurs humaines, on aime toujours la simplicité évangélique. S[a] M[ajesté] Très Chrétienne ajouta aussi à la cure la direction de sa chapelle, augmentant l’entretien des prêtres et des clercs. Il y a pour les deux emplois vingt-cinq prêtres avec huit clercs, que l’on tire du séminaire de St.-Lazare. Et il y a une quinzaine de prêtres avec quelques clercs aux Invalides.
Outre ces deux établissements, M. Jolly en reçut d’autres pour des séminaires éloignés, en diverses villes épiscopales de France, 1º à St.-Flour en Auvergne. Le contrat en fut passé dès l’année 1673. Mgr de Montrouge10, évêque de St.-Flour l’ayant demandé avec instance, et M. Chomel dont on a parlé ci-dessus à l’occasion de la nouvelle maison de Lyon, consentant d’aller travailler en ce diocèse en qualité du Grand Vicaire, il fit là du bien à cette maison, lui donnant une partie de sa bibliothèque. On unit le prieuré de la Taliza, que voisin de la ville pour la subsistance des ouvriers, outre quelques contributions sur le clergé, autorisé par lettres patentes du roi. Le premier supérieur fut M. Pierron, depuis supérieur général qu’on y envoya avec M. Michaud11. Dieu y bénit d’abord leurs travaux, ainsi que marque M. Jolly dans une lettre le 9 mars 1673, en ces termes. J’apprends de M. Pierron qu’il prit possession du séminaire le lendemain des Cendres. Mgr l’évêque se voulut trouver à cette action, avec plusieurs chanoines de sa cathédrale, et quantité d’autres ecclésiastiques. M. Michaud y fit un discours qui contenta fort S[a] G[randeur], les vicaires généraux, et toute l’assemblée. Le prélat leur témoigna beaucoup de bienveillance aussi bien que les diocésains, ce qui donne lieu de croire que Dieu aidant ce séminaire fera de grands biens non seulement pour ce diocèse, mais encore pour les autres des environs. On s’accorda en cette ville mal rangée, où il faut monter et descendre du mieux qu’on put ainsi qu’on fait ailleurs. Dans les commencements de quelque maison de différents particuliers. Et on y loge encore aujourd’hui. Il s’y fait quantité de prêtres dont plusieurs vont servir dans les diocèses voisins, mais je ne sais si un tel usage est bien à approuver.
2º À Sens autrefois métropole de Paris, grand diocèse, ou Monseig[neu]r l’Archevêque12 que les souhaita pour la direction de son séminaire au nombre de 4 prêtres avec trois frères, on y est encore aujourd’hui fort à l’étroit, assez prêt de l’archevêché. Cet établissement se fit en l’année 1675.
3º Deux ans après à Arras par les soins de Messire Guy de Sève de Rochechouart13, à présent un des plus anciens prélats de France, si connu et estimé raison de son zèle pour la discipline ecclésiastique. Il les logea près de son palais au nombre de 4 prêtres, 4 frères. Et ce séminaire a fait beaucoup de bien.
4º L’année suivante Messire François de Rotondy de Biscaras14, évêque de Béziers, appela les prêtres de la Mission et leur confère de son séminaire. Ils sont placés hors de la ville dans un endroit commode. Et on a depuis fait à construire un bâtiment assez propre, mais qui n’est pas encore achevé outre le séminaire. Il y a une bande de mission, et six prêtres en tout avec trois frères.
5º La même année Messire Alphonse de Valbelle15 pour lors évêque d’Alet et depuis de St.-Omer, les établit à Alet pour le séminaire au nombre de trois prêtres. M. Hébert connu davantage depuis quand il devient curé de Versailles et enfin évêque d’Agen, fut le premier supérieur. Le diocèse est petit, et la ville peu considérable, n’y ayant presque que la cathédrale et les chanoines, la maison est pourtant commode, et assez bien rentée.
6º En 1679, Mgr Toussaint de Forbin de Janson16 qui étant évêque de Marseille où la maison de la Compagnie était déjà établie pour prendre soin des forçats, faire des missions sur les galères, et autres dans les terres de la marquise de Vins, dame des plus qualifiées de Provence, lui avait donné la direction du séminaire qui est petit, le diocèse ne comprenant que 25 paroisses, devenu ensuite évêque de Beauvais, Cardinal de la Ste. Eglise Romaine, et Grand aumônier de France, confia de même la direction du Séminaire de ce nouvel évêché aux prêtres de la Mission, qui sont 4 prêtres , et 4 frères bien rentés.
7º Il y avait déjà un séminaire établi à Tours, gouverné par les prêtres avec une assez jolie maison près de St. Julien, qui est la cathédrale. L’official, un de ces messieurs nommé Saint, fit des instances pour le faire remettre à la Congrégation, et il eut la dévotion de rester dans la maison. Mr. Pierron en vint prendre possession en qualité de premier supérieur en 1681. Mgr Victor le Bouthillier17 en étant archevêque, et Mgr Matthieu Poré d’Ervaut18 ci-devant auditeur de Rote, et depuis archevêque de Tours y a ajouté sur la fin de sa vie une fondation d’une bande de Mission. En tout qu’on y est présentement sept prêtres et trois frères.
8º Messire André Colbert19 évêque d’Auxerre y appela la même année 1680 quatre prêtres mission[nai]res pour diriger son séminaire. La maison est près de la cathédrale, gênée par des rues, et peu spacieuse. On y a fait bâtir depuis une assez jolie chapelle.
9º Messire Ferdinand de Neuville de Villeroy20, évêque de Chartres, demanda la même année, et obtint six prêtres de la Mission pour conduire son séminaire. On l’établit dans un joli endroit hors de la ville. Les chevaliers de St.-Lazare firent encore quelques peines à ce nouvel établissement, mais ils n’y réussirent pas, et c’est aujourd’hui une maison des mieux situées, et des plus commodes de la Congrégation. Messire Paul Godet des Marais21, évêque de Chartres y a ajouté une bande de mission, et encore depuis Mgr de Mérinville22 son digne neveu et illustre successeur l’a conduite d’un petit séminaire destiné à élever des jeunes clercs selon l’esprit du Concile de Trente. C’est une maison distinguée de l’autre, dans l’enceinte de la ville.
10º L’année suivante 1681, d’autres évêques obtinrent encore de M. Jolly des missionnaires pour leurs séminaires, savoir Messire Hardouin Fortin de la Hoguette23, pour lors évêque de Poitiers, puis archevêque de Sens, pour Poitiers. S[a] G[randeur] s’accorda avec M. de Bâville pour lors intendant de Poitiers de prendre pour le séminaire la belle maison où il logeait confisquée au profit du roi sur un partisan qui après s’être enrichi voulut inquiéter la noblesse. Elle le poursuivit si vivement qu’on le fit déclarer concussionnaire, et puis exécuter en pleine place. On conclue le marché à 10.000 mil livres avec cette clause, que le roi se rendit fondateur dudit séminaire pour le reste, clause qui a rendu inutiles toutes les poursuites qu’on fait les intendants suivants pour avoir cette maison, comme plus commode pour y loger. Elle est en effet très belle, mais logeable pour une grosse communauté, composée ordinairement de 60 ou 80 séminaristes. Il y avait une grande quantité de lucarnes de plomb qu’on a défait et vendu. Le clos de cette maison est grand et régulier. On l’a agrandi depuis par l’acquisition d’un clos voisin, appelé la Capettette, où étaient auparavant des filles de communauté assemblées par Made. de Pardaillan, qui n’ont pu subsister. Il n’y eut d’abord à Poitiers que quatre prêtres comme dans les autres séminaires. Mgr Antoine Girard24 en entretenait un cinquième pour instruire des nouveaux prêtres qu’on retenait au séminaire pendant trois mois après l’ordination, mais son successeur Mgr Jean-Claude [de] la Poype de Vertrieu25 n’a pas apparemment continué cette augmentation. Il ne laissé pas d’estimer la Compagnie. Il lui a confié la direction d’un petit séminaire qui était déjà établi dans la ville de Poitiers.
11º Messire Le Tournelier de Breteuil26, évêque de Boulogne-sur-Mer y donna semblablement son séminaire à conduire aux Missionnaires qui sont logés assez commodément dans la nouvelle ville, et fonda encore une bande de Mission pour l’instruction de la campagne de son diocèse. Le nombre des ouvriers de cette maison est de huit prêtres et trois frères.
12º À Châlons sur Marne où les R.P. de l’Oratoire avaient été établis pour la direction du séminaire par Messire Félix Vialart, ils furent obligés de le quitter à raison de certaines difficultés qui n’avaient rien de commun avec les prêtres de la Mission. Ce séminaire étant vacant, Messire Louis-Antoine de Noailles27, nouvel évêque de Châlons, auparavant de Cahors, et depuis archevêque de Paris et cardinal, y établit ces derniers qui ont continué et continuent à le conduire depuis l’année 1681.
13º L’année suivante Messire Henri de Nesmond28, évêque de Bayeux, le plus grand diocèse de Normandie, après Rouen, quoiqu’il eut déjà un beau séminaire a Caen dirigé par Mrs. de la Communauté du P. Eudes, ayant en envie d’en avoir un autre près de lui dans la ville de Bayeux, il le confia aux Missionnaires, et a laissé en mourant une somme considérable pour le bâtir.
14º Dame Anne Boyer, veuve de Mr. le Duc de Noailles, mère du maréchal et du Cardinal de ce nom, voulut fonder des Missionnaires à Sarlat, ville voisine de la terre de Noailles pour des missions. Et Mgr l’évêque29 leur donna aussi son séminaire, dont M. Faure depuis vicaire général fut fait premier supérieur. Mg. l’évêque le mit d’abord dans la maison de Tignac, hors la ville, où ils ont logé quelque temps, mais ils ont acheté depuis un assez joli terrain dans la ville et on y a fait construire un bâtiment. Cet établissement qui est de six prêtres et trois frères ne se fit qu’en 1683.
15º L’année de devant on appela les Missionnaires dans la métropole de Bordeaux pour leur confier la direction du séminaire déjà établi ci-devant, et gouverné par des prêtres du clergé qui le cédèrent aux prêtres de la Mission. En transigeant avec eux, sous l’autorité de Mgr Louis d’Angleure de Bourlemont30 archevêque de Bordeaux. À ce séminaire était déjà uni la chapelle et maison de Notre Dame de Montuzet, située sur une élévation, et fréquentée par un grand concours de monde qui y va en dévotion pour honorer la sainte vierge sur la Gironde entre le Bec d’Ambès et Blaye. On y a depuis établi un supérieur particulier, et cela sert de lieu de repos aux Missionnaires qui ne sont plus en état de travailler. Il y a dans cette maison de Bordeaux une bande de mission pour travailler dans le diocèse, et les missionnaires allèrent souvent se reposer en été à Montuzet. Les séminaristes assistant dans cette ville aux offices dans l’église de St.-Siméon. Le bâtiment qu’on a là est étroit et renfermé. On cherche à se placer ailleurs.
16º M. le Maréchal de Grammont assigna une somme de 40 mille livres pour établir un séminaire à Pau en Béarn dans le diocèse de Lescar, dont les évêchés voisines, d’Aire, Bayonne, &c., qui n’ont pas de séminaire pourraient profiter, et cela en faveur des Missionnaires. Les R.P. Jésuites essayèrent de s’attirer au moins une partie de cette somme offrant de recevoir chez eux dans leur beau collège, que le roi Henri le Grand leur a donné à Pau. Les séminaristes sans qu’il fut besoin de bâtir une autre maison, Mgr Dominique Desclaux de Mesplé31 pour lors évêque de Lescar, qui avant sa promotion avait été marié, et avait un fils Jésuite y consentait. Mais Mad[am].e la Maréchale voulut qu’on exécutât à la lettre la volonté de M. le Maréchal, et les Missionnaires vinrent à Pau au nombre de quatre prêtres, qui se sont placés dans la maison assez spacieuse du président De la Vie, et y tiennent le séminaire, où vont non seulement les jeunes clercs du diocèse de Lescar, mais encore de plusieurs autres diocèses voisins.
17º La même année 1683 on confia à la Compagnie le soin des aumôniers de vaisseaux dans le port de Rochefort diocèse de La Rochelle, avec la direction de l’hôpital. Le roi le voulant ainsi. Et on demandait même que quelques-uns des Missionnaires s’embarquassent au moins un par escadre pour prendre soin des aumôniers, mais on refusa d’accepter cette condition. Et on eut bien de la peine à se charger de la direction de ces messieurs. On avait pensé de la confier pareillement aux Missionnaires dans les ports de Brest, et de Toulon en Provence. Et M. Jolly témoignant trop de répugnance, les R.P. Jésuites s’en sont chargés, et s’y sont bien établis, ayant par leur crédit procuré à ces maisons l’union de bons bénéfices.
18º La même année 1683, M. l’abbé Thomassin, curé de Manosque appela dans cette ville les Missionnaires, leur donnant une maison et du bien pour subsister. M. Bourgeois32, directeur du séminaire interne de Lyon en fut nommé premier supérieur, et Mgr Louis [de] Thomassin33 ci-devant coadjuteur de Vence, puis évêque à Sisteron, qui faisait sa résidence ordinaire au château de lieu, à trois lieues de Manosque, leur donna son séminaire. Cette maison est petite, composée seulement de trois prêtres qui ont là un vieux et mauvais bâtiment. On y a eu au commencement des difficultés, et on le trouvait assez à l’étroit, mais depuis la maison est devenue assez commode.
19º En 1689, Messire Pierre de Broïx34, évêque de St.-Pol de Léon en Basse Bretagne, appela les Missionnaires pour diriger son séminaire au nombre seulement de trois prêtres, et deux frères. Le contrat en fut passé, et ils sont assez bien logés pour ce pays près de la mer.
- Toussaint Lebas, né 1625.
- Jean-Joseph de Marthe, né 1637.
- Nicolas Thibault, 1633-1686.
- Philibert Fardel, né 1633.
- André Lescuyer, 1640-1723.
- Eléonor Baston, né 1637 ; Versailles, Notre-Dame, 1674-1686.
- François Chèvremont, 1647-1716.
- Michel Crespel, né 1644.
- Nicolas Duval, né 1625.
- Jacques de Montrouge, 1612-1664.
- Noël Michau, né 1642.
- Jean de Montpezat de Carbon, † 1685; archevêque de Sens 1674-1685.
- † 1724.
- † 1702.
- † 1708. Évêque d’Alet, 1678-1693; évêque de Saint-Omer, 1693-1708.
- † 1713.
- † 1670.
- Matthieu Ysoré d’Hervault, archevêque de Tours, 1693-1716, l’an de sa mort.
- † 1704.
- † 1690.
- Évêque de Chartes, 1692-1709.
- Charles-François des Monstiers de Mérinville, † 1746.
- † 1715.
- † 1702.
- Évêque de Poitiers, 1702-1732.
- † 1698.
- † 1729.
- † 1715.
- François de Salignac de la Mothe-Fénélon, évêque de Sarlat 1659-1688.
- † 1697.
- Desclaux de Mesplès, † 1716.
- Jean Le Bourgois, né 1641.
- † 1718.
- Pierre le Neboux de la Brousse, † 1701.